Quand j’écris ou lis un poème, le temps s’étire et s’étend. Ma vie se suspend. Un instant. J’entends le chant. De mon âme à fleur de mots.
La poésie qui est une arme, signe la mort de toutes les horloges du monde.
Quand j’écris, je deviens corps de texte fièvreux et coeur qui saigne, en quête d’azur et d’amour. Toujours. Et mon esprit enquête, sur le bonheur qui se cache sous les paupières de l’enfant que j’ai été et que je guette chaque jour. Au détour de chaque pas, chaque phrase. Étincelle.

Quand j’écris, j’ose redevenir moi-même :

Feu. Ombre et lumière. Homme.

MAOB

#ConversationAvecMoiMême
#PourRépondreÀUneQuestionPoséeHierSoir

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