Planète Mars
À l’orée du chemin
Lumière qui vacille
Doucement sur la ville
Un poème se dessine
Entre nous
Il y a le ciel les oiseaux et l’amour
Au loin l’horizon bleu et la mer
Les nuages de la tendresse qui meurt
Pour mieux renaître, naître toujours
Dans la volupté du songe
Être
MAOB
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