
La vie n’attend personne
Comme toujours Le monde Se divise En camps Les pros Les anti Les nantis Les anéantis Les reines et rois
Comme toujours Le monde Se divise En camps Les pros Les anti Les nantis Les anéantis Les reines et rois
Quelques lunes déjà Que je marche Sur la terre Que je vais et viens Dans le monde Avec pour seuls
Souffle coupé Que personne Ne nous mente Le monde est beau Méditer Respirer Encore Respirer Toujours Au vent Du
Bleu À l’âme Vague De maux Rêves À l’eau Seul l’horizon tient debout Les êtres de plein vent Que
Reprendre Le large Revenir À la page Retrouver La marge Du monde Bien s’y sentir Ressentir Le souffle du
Que restera-t-il ? De nos rêves, de nos combats, de nos espoirs. Rien, il se peut que rien ne
« Liberté j’aurai habité ton rêve jusqu’au dernier soir », où la cœurversation imaginée entre Commandant Omar et Capitaine Alexandre, autrement dit
On est là… Encore Sur le nuage Du poème qui Peut être Aussi Main tendue Et Bras ouverts
« Homme libre, toujours tu chériras la mer » Et à jamais battra Chamade et charade Ton cœur tambour À
On est là… En apesanteur, et le discours de Jupiter d’hier ne donne aucunement envie de redescendre. Merci